La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Pour diminuer sa dette, le gouvernement italien avait décidé de céder un bail de 99 ans pour l'île de Proveglia, près de Venise, réputée comme étant l'île la plus hantée du monde. Un homme d'affaire italien a remporté la vente aux enchères face à une association locale en déboursant la somme de 513 000 euros. L'association, qui voulait faire de l'île un lieu culturel, n'avait proposé quant à elle que 160 000 euros.
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Mais l'association Proveglia, du nom de l'île, ne le voit pas de cet oeil. Lorenzo Pesola, porte-parole, a protesté en déclarant que "le prix est irréel. Nous allons insister pour que cette offre soit rejetée". L'offre de l'homme d'affaire italien peut encore être rejetée ou acceptée pendant trente jours par l'agence qui a organisé les enchères. L'association ne perd pas espoir puisqu'elle a finalement réussi à recueillir pas moins de 440 000 euros auprès de 4 000 donateurs.
Un asile psychiatrique y a été installé au XXe siècleL'île de Proveglia est un véritable fantasme pour les amateurs de paranormal... Aux XVIIIe et XIXe siècle, elle servait de lieu de quarantaine pour les bateaux qui arrivaient à destination de Venise. Elle servait aussi à défendre la ville du haut de son fort. C'est par la suite que son histoire s'assombrit... Au XXe siècle, l'île accueille un centre d'aliénés. On raconte aujourd'hui que l'âme des victimes qui y ont été enterrées hante encore les lieux... Elle a été laissée à l'abandon depuis les années 60, menant inévitablement à la ruine l'église, l'hôpital et la prison qui y avaient été construits.
L'association Proveglia voulait y installer une école de voile, un café, et un centre de fouilles archéologiques. Un porte-parolede l'homme d'affaire désormais propriétaire du bail de 99 ans explique qu'il souhaite que "l'île reste un bien pour toute la collectivité". Il est "prêt à dépenser 20 millions d'euros de sa poche pour financer des travaux de restauration". Il ajoute que "c'est pour les Vénitiens qu'il a voulu le faire, pour éviter qu'un Arabe ou un Chinois vienne et acquiète l'île pour ses propres intérêts"...