SociétéAssurance chômage: ces nouvelles règles pénalisantes pour les seniors
De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
IllustrationIstockDepuis la crise sanitaire et les confinements mis en place pour lutter contre la propagation de la Covid-19, des critères autrefois facultatifs sont devenus indispensables pour de multiples futurs acquéreurs. Voici ceux qui donnent de la valeur à votre bien.
Les Français rêvent d’espace et de verdure. Depuis le confinement instauré au printemps dernier, les professionnels de l’immobilier ont pu le constater : les habitudes de consommation de la population ont évolué, et ne semblent pas s’estomper. Cet isolement a fait prendre conscience à bon nombre d’entre nous que le logement devait être un espace chaleureux et accueillant. A cela s’ajoute un besoin de profiter d’un extérieur, voire d’espace vert. Après avoir souffert d’un manque d’air dans des logements trop petits, beaucoup souhaitent en effet s’aérer depuis chez eux.
Quels sont alors les critères les plus recherchés aujourd’hui par les futurs acquéreurs ?
Immobilier : un extérieur est devenu un atout essentiel
Balcon, terrasse, jardin… L’extérieur est devenu pour beaucoup le critère N°1. Certains sont en mesure d’accepter un logement à petite surface, tant que celui-ci dispose d’un coin en extérieur. Dans les grandes villes et en centre-ville, la tâche n’est pas simple. Très recherchés, ces biens bénéficiant d’un tel espace sont en effet vendus à prix d’or.
"Dans des secteurs très urbains, avec peu d'extérieurs et où le prix au mètre carré est élevé, un balcon ou une terrasse représentent une plus-value non négligeable et qui compte dans la valeur du bien", explique au Figaro Meryem Guillemet, conseillère indépendante en immobilier du réseau IAD France.
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Pour en profiter, certains n’hésitent pas à s’éloigner des grandes villes, afin de pouvoir acquérir des biens à des prix plus abordables, correspondant à leur budget, difficilement extensible en ces temps de crise sanitaire.
Crise sanitaire : les centres-villes bientôt désertés ?
Primauté à la qualité de vie. "Ceux qui ne peuvent pas se permettre d’acheter à Paris s’éloignent pour avoir des plus grands espaces, des jardins, de l'air, du calme", détaille Sébastien Anceau, agent immobilier pour Stéphane Plaza Immobilier dans l’Essonne. "Aujourd’hui, un appartement sans balcon est moins demandé sur le marché et encore plus après cette période de confinement", ajoute-t-il.
Avec l’accroissement du télétravail, des propriétaires d’appartements sans extérieurs vendent leur bien pour acheter hors de la ville un logement similaire disposant d’un jardin, une terrasse ou, a minima, d’un balcon.
Immobilier : l’espace et la luminosité priment désormais
Après le prix et l’extérieur, ce sont les critères d’espace et de luminosité qui sont les plus recherchés. Si cela est impossible, certains optent alors pour l’achat d’une résidence secondaire à la campagne, à moins de deux heures de leur logement citadin. Ils s’y échappent dès que possible, pour assouvir leur besoin de nature, qui semble avoir pris le pas sur les commodités.
Avoir un extérieur ou être proche de la campagne ou encore de la mer, est donc devenu en immobilier, un fort atout, engendrant une plus-value non négligeable.
