La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Vous ne le savez peut-être pas mais, au bout de douze ans, votre plan épargne logement (PEL) n'est plus forcément un bon placement.
En effet, si le PEL est soumis aux prélèvements sociaux chaque année, au bout de la douzième année il devient imposable à l'impôt sur le revenu en plus des cotisation sociales. Si votre taux n'est pas plus élevé que ceux proposés actuellement, vous auriez tout intérêt à clôturer l'actuel et à en ouvrir un autre.
Si vous êtes soumis à l'impôt sur le revenu, vous pouvez vérifier la rentabilité de votre épargne en fonction de votre taux marginal d'imposition (TMI).
Un taux qui ne change pas
Le taux de votre PEL reste invariable durant tout sa durée de vie. Il est défini à l'ouverture du compte et ne changera pas, contrairement au Livret A dont le taux peut être révisé jusqu'à deux fois par an, comme le rapporte l'Express (article payant).
Se constituer un apport pour un prêt immobilier
Comme son nom l'indique, le plan d'épargne logement sert à se constituer un apport dans la perspective d'un crédit immobilier. Ainsi, au bout de 4 ans d'existence, il permet l'accès à un "prêt PEL", un crédit aux conditions spécifiques.
Rappelons qu'un plan épargne logement peut être ouvert avec un dépôt minimum d'un montant de 225 euros et qu'il est obligatoire de verser au minium 540 euros pas. Il ne peut plus être approvisionné au-delà de 61 200 euros.