La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
La "libération fiscale" arrive. Le 26 juillet serait en effet le jour supposé où les actifs français commenceraient à profiter du fruit de leur travail, après avoir participé au financement de l’Etat.
Concrètement, qu’est-ce que cela signifie ? "Les dépenses publiques (Etat, collectivités territoriales, Sécurité sociale...) représentent 56,60% des richesses produites en France (le produit intérieur brut ou PIB) en 2016. Rapporté au calendrier de l'année, cela représente 207,2 jours" pour un salarié français, explique le site Metronews, qui relaie la nouvelle.
Des prélèvements dus aux charges sociales
Ces longs prélèvements en France sont dus principalement aux charges sociales, avec des cotisations sur les salaires importantes acquittées par les employeurs.
Les Français cotisent en moyenne plus que leurs voisins de la zone euro, où la date de "libération fiscale" pour l’ensemble des pays membres était fixée cette année au 26 juin, soit un mois de moins. L’année dernière, l'Institut économique Molinari, un think-thank franco-belge, avait estimé la date de cette "libération fiscale" au 29 juillet 2015, soit une date presque identique à celle de 2016.