Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Accusée de recopier des passages entiers d'articles de confrères sans citer de sources, la directrice de l'école de journalisme de Sciences Po a officiellement été licenciée par l'établissement mercredi, rapporte le Figaro. Suspendue dès novembre, elle ne fait aujourd'hui plus partie de l'équipe pédagogique.
Des chroniques passées au détecteur de plagiat Celle qui tient également une chronique sur France Culture avait fait l'objet d'un article d'Arrêt sur images, paru en novembre dernier, pointant son attitude contestable. Le site d'informations sur les médias avait alors publié des impressions d'écran pour comparer des articles de presse à ses chroniques. Ces dernières, retranscrites intégralement sur le Huffington Post, ont été vérifiées par le logiciel Plagiarism Checker. Résultat : sur 20 chroniques, la moitié contenait au moins un passage calqué.
Éthique journalistique Bruno Patino, directeur de l'école de journalisme avait immédiatement indiqué aux personnels et élèves : "l'école, qui enseigne la déontologie, ne peut prendre ce genre de choses à la légère". La lourde décision est donc tombée alors que l'intéressée expliquait ne pas avoir "le temps de citer toutes (ses) sources". Une affaire navrante, quand on sait que la journaliste est une spécialiste des médias et de leurs impacts.
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Le renvoi de celle qui s'est toujours défendue de malhonnêteté n'a pas surpris les étudiants. Ils ont confié à 20 minutes avoir remarqué que les maquettes de cours distribuées en décembre ne comportaient plus le nom d'Agnès Chauveau.
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