
Le 15 mars dernier, Claude Gilliot, le prêtre qui avait baptisé le petit Émile s'est suicidé sans que l'enquête ne fasse officiellement de lien direct avec la disparition de l'enfant. Pourtant, la lettre qu'il a...
La présidente de Poitou-Charoutes à toujours manifester son soutien à cette entreprise en difficultés financières depuis près de sept ans. Or il se trouve que Jean-Pierre Raffarin est le plus grand opposant local à Heuliez. Bien décidée à ne pas laisser passer cette pique, Ségolène Royal n’a pas tardé à lui répondre. "La droite ferait mieux de faire des propositions pour Heuliez, plutôt que d'exploiter de manière politicienne, comme sait si bien le faire Monsieur Raffarin, des sujets aussi graves", lui a-t-elle rétorqué sur le réseau social. Mais l’ancien ministre a refusé de lui laisser le dernier mot, et a posté, avec une once de menace : "Débat sur l'action du Conseil régional dans le dossier #Heuliez. La Chambre régionale des comptes dira sans doute la vérité". Plus déterminée que jamais dans le dossier Heuliez, Ségolène Royal s’est aussi illustrée en prenant publiquement la défense de son ex-compagnon.
Ségolène Royal prend la défense de François Hollande
La vice-présidente de la BPI a pris la défense son ancien compagnon concernant ses décisions visant à améliorer la transparence. "La transparence est un bon principe démocratique et le président de la République a pris courageusement des décisions qui sont attendues et vont remettre des règles dans le fonctionnement de l'usage des fonds publics", a-t-elle considéré. "Le principe n'est pas de mettre en cause les élus ni les fonctionnaires, mais de se dire que dès lors qu'il y a des financements publics, des salaires qui sont payés sur des fonds publics, il faut la transparence", a-t-elle expliqué. Malmenée depuis son échec aux élections présidentielles de 2007, Ségolène semble avoir repris du poil de la bête, notamment depuis son accession au poste de vice-présidente de la BPI.