De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Après des années de rebondissements judiciaires, Pierre Ferracci a obtenu gain de cause auprès de la cour d'appel d'Aix-en-Provence. D'après les informations de France 3, le verdict a été rendu le lundi 12 octobre 2020. Ainsi, les deux villas de ce proche d'Emmanuel Macron, bâties illégalement sur le site de Rondinara en Corse, ne seront pas détruites. Les associations écologistes dénonçaient un préjudice causé à l'environnement.
En effet, ces deux villas avec piscine construites sur près de 700 mètres carré ont été bâties près du littoral. Problème ? Sur le permis de construire validé par la cour administrative d'appel de Marseille en 2006, la juridiction autorisait la construction de "cinq villas sur un ensemble rocheux dans les hauteurs du site de Rondinara", écrit France 3. Le sexagénaire justifie sa décision par le fait que, de cette manière, ses propriétés, "s'insèrent mieux dans le paysage".
Villas Ferracci : l'association U Levante prévoit de pourvoir cassation
Initialement, le dirigeant français avait payé une amende d'un million d'euros, soit la moitié du coût de son projet. L'association écologiste U Levante, partie civile dans cette affaire, souhaitait la démolition intégrale des bâtisses, considérant que c'était la seule manière de "réparer le préjudice environnemental". Face à cette décision de justice, Pierre Ferracci déclare avoir été victime "d'une démarche délétère, mensongère, calomnieuse et d'une grande violence" des associations adverses.
U Levante a d'ores-et-déjà communiqué sa volonté de poursuivre son action en justice et de pourvoir cassation.