De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Ses origines métissées
Comme Yannick Noah, le dernier Français à avoir remporté Roland Garros, Jo-Wilfried Tsonga est métis. Son père est d’origine congolaise tandis que sa mère est Française, originaire de la Sarthe. Le champion de tennis mentionne fréquemment avec fierté ses origines africaines, comme le rapporte Le Figaro. Le Manceau se félicite des valeurs que lui ont transmises ses parents, enseignants dans la Sarthe. "Faire bien, c'est de tout temps rentré dans mes objectifs. C'est lié à mon éducation, mes parents m'ont toujours mis beaucoup de pression pour que je débarrasse mon assiette, que je sois poli… Des choses bêtes mais qui comptent".
Sa vie en Suisse
Jo-Wilfried Tsonga se targue de défendre les couleurs de la France, pourtant c’est en Suisse qu’il a décidé de s’installer. Il va d’ailleurs affronter un de ses compatriotes helvètes en demi-finale de Roland Garros. Toutefois, dans un entretien accordé à GQ, le tennisman a évoqué sans langue de bois son exil fiscal en Suisse, un des sujets les plus tabous en France : "Nous sommes des cibles ambulantes alors que nous ne sommes pas ceux qui gagnent le plus. En revanche, nous sommes ceux qui paient le plus pour leur sport, en tant qu'auto-entrepreneur. Les footballeurs, on ne leur prend pas une partie de leur rémunération pour payer leur entraîneur. Moi oui. Ils pensent que l'on gagne des millions chaque mois, mais c'est faux. On part presque tous en Suisse uniquement pour ça. Il faut optimiser notre carrière. Je ne connais personne qui gonfle sa feuille d'imposition, pourquoi je le ferai? Je fais avec le système existant, cela s'appelle de l'optimisation fiscale". Malgré son installation en Suisse pour payer moins d’impôts, Jo reste l’un des sportifs préférés des Français.
Sa petite-amie
Le champion de 30 ans n’est plus un cœur à prendre. En effet, le Français a craqué pour Noura El Shwekh. La charmante jeune femme suisse est très souvent présente dans les gradins pour encourager son compagnon. Jo-Wilfried tsonga avait déclaré à son propos : "J'ai une petite amie qui est Suisse, cela fait avancer aussi. C'est un moteur ". "Je me marierai et j'aurai certainement des enfants un jour, mais pas dans un futur proche. Aujourd'hui, je ne veux pas avoir à choisir entre mon métier et ma famille. Je veux pouvoir être proche de mes enfants. A la fin de ma carrière, quand je n'aurai plus d'objectifs, alors j'envisagerai de fonder une famille", avait déclaré à Télé Star le tennisman qui garde les pieds sur terre.
Sa passion : le tennis
Celui que Yannick Noah qualifie de "guerrier" sur les courts a d’abord joué au football avant de faire du tennis. Mais rapidement il a délaissé le ballon rond pour sa véritable passion. Dans la presse, il est revenu sur ce coup de foudre qu’il a eu enfant : "Des images me reviennent souvent. Et notamment la finale à Malmö de l'Equipe de France contre la Suède. Ce moment m'a fait choisir le tennis. Je n'avais pas l'habitude de le regarder à la télévision. Il n'y en avait pas beaucoup. Un soir, en rentrant du foot, je suis rentré sur ce match et me suis dit: 'c'est chouette le tennis'".
Son rêve
Jo-Wilfried Tsonga a un rêve comme tous les grands champions, celui de remporter un grand tournoi. "Quand je ferme les yeux et que je me vois gagner un Grand Chelem, la plupart du temps, c'est à Roland-Garros, même si le tournoi dans lequel j'ai le plus de chances reste Wimbledon. Mais ça a toujours été comme cela, j'ai toujours rêvé de gagner Roland-Garros". Reste à savoir si "Jo" va répéter l’exploit réalisé par Yannick Noah en 1983 en remportant la coupe des Mousquetaires. Il a en tout cas d’ores et déjà déclaré sa flamme au public du tournoi français lors de sa victoire en quart de finale.
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