De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Faute avouée, à moitié pardonnée ? Placée en garde à vue depuis mardi en raison "d'incohérences dans ses déclarations" et relâchée ce jeudi, Lola l'a reconnu : la sordide affaire de viol en pleine rue n'a jamais eu lieu, a rapporté L'Indépendant.
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Le 25 juin dernier, la jeune femme de 26 ans avaient appelé le commissariat de Perpignan (Pyrénées-Orientales) depuis le présumé lieu du viol, un peu avant 19 heures. Selon ses propres déclarations, un homme muni d'un couteau avait profité d'elle tandis qu'un autre avait filmé la scène avec son téléphone portable. La police l'avait par ailleurs retrouvée débraillée et en état de choc boulevard Kennedy.
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Pas de poursuite judiciaireL'affaire a été très médiatisée. De la marche blanche, à la conférence de presse en passant par son appel à la radio, Lola aura fait croire à son agression jusqu'au bout. Suite aux révélations qu'elle a faite ce jeudi, la jeune femme encourait jusqu'à six mois d'emprisonnement ainsi que 7 500 euros d'amende pour "dénonciation mensongère d'un crime" ayant mené "les autorités judiciaires à d'inutiles recherches", a révélé L'Indépendant.
Le juge a cependant été clément. En effet, il ne la poursuivra pas pour "dénonciation de crime imaginaire" évaluant que son discernement au moment des faits avait été altéré. En revanche, la Perpignanaise devra répondre de ses actes pour "outrage à personne dépositaire de l'autorité publique". Lors d'une précédente audition, la jeune femme aurait insulté un policier, a relaté Le Parisien.
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