Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Elle en touchera un mot au président. Valérie Trierweiler est actuellement en Haïti, dans le cadre d’un voyage humanitaire organisé par le Secours populaire. Durement frappé par un violent séisme en 2010, ce pays peine à s’en remettre. "Je suis là pour offre plus de visibilité à ce que le Secours populaire fait en Haïti. Je me rendrais disponible autant que je peux. Beaucoup de Français ne savent pas ce que le Secours populaire réalise ici", a ainsi déclaré la journaliste de Paris Match en marge d’une visite dans un hôpital pédiatrique. Forte de ces propos, l’ex-compagne du président s’est même engagée à tenter de le sensibiliser à cette cause. "C’est fort probable que je lui fasse un message pour lui dire ce que j’ai vu en Haïti. Ce que j’entends dire ici en Haïti c’est que l’aide française n’est pas suffisante", a-t-elle en effet confié. Et l’ancienne locataire de l’Elysée d’ajouter : "Mais je sais qu’il (François Hollande, ndlr) a promis de venir en Haïti en 2015, alors il verra aussi".
Pour l’affaire Versini, Valérie Trierweiler avait mis la pression à François Hollande
- A lire aussi - Affaire Versini : Valérie Trierweiler tweete pour mettre la pression à François Hollande
Ce n’est pas la première fois que Valérie Trierweiler fait jouer "ses relations" avec le président pour défendre une cause qui lui tient à cœur. En avril dernier, elle n’avait pas hésité à poster un message sur Twitter pour mettre la pression à François Hollande à propos de l’affaire Versini. Ce dossier tient son nom d’une mère de famille française, Maude Versini, dont les trois enfants sont retenus par leur père au Mexique. Et alors que le chef de l’Etat se trouvait à ce moment-là dans ce pays, Valérie Trierweiler souhaitait qu’il en profite pour faire avancer les choses. "Je soutiens Maude Versini qui n’a pas vu ses enfants depuis 847 jours, retenus par leur père au Mexique. Aidons-là. @Francediplo doit agir", avait-elle écrit sur le réseau social.