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Bientôt cinq mois après sa rupture avec François Hollande, Valérie Trierweiler doit faire face à un nouveau coup dur : l'Elysée a fait retirer tous les éléments de décoration qu'elle avait apportés à la résidence d'été des présidents en 2012.

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Plus aucune trace du passage de Valérie Trierweiler dans les ors de la République ne doit subsister. Tel semble être le mot d’ordre donné par le président François Hollande au personnel de l’Elysée. En effet, selon les informations de Paris Match relayées par Closer, le chef de l’Etat aurait demandé à ce que soit retiré du Fort de Brégançon, toutes les "touches" de décoration que son ex-compagne avait apportées à la résidence d’été des présidents, dans le Sud de la France. "Ces dernières acquisitions ont aujourd’hui disparu, récupérées par les services du Mobilier national avec la vaisselle, le linge et les meubles de jardin", rapporte ainsi l’hebdomadaire.

Le couple y avait séjourné seulement un été, le tout premier qui avait suivi l’élection de François Hollande en 2012. Sans doute l’ex-Première avait-elle voulu placer quelques meubles et objets choisis par ses soins pour s’y sentir plus à l’aise. Une initiative critiquée par la presse, laquelle y avait vu "un geste déplacé en temps de crise", rapporte Closer.

Egalement effacée du site de l’ElyséeRayée de Fort Brégançon, Valérie Trierweiler l’a également été du site de l’Elysée et ce, dès la fin du mois de janvier. Quelques heures seulement après l’annonce de sa rupture avec le chef de l’Etat, la journaliste de Paris Match a en effet été effacée du site Internet officiel de l’Elysée. Outre sa page web et sa biographie, c’est également son compte twitter officiel "@infosvaltrier" qui a été supprimé. Celui-ci était alimenté par son cabinet, lequel se chargeait de relayer ses déplacements et actions en tant que compagne du président.

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