De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Notre planète pourrait prochainement connaître un phénomène qu’elle n’a pas vécu depuis près de 300 ans. D’après des chercheurs à l’Université de Northumbria en Angleterre, l’activité solaire devrait diminuer d’environ 60% entre 2030 et 2040. La Terre pourrait donc vivre un mini-âge de glace durant cette période, comme le rapporte The Telegraph.
Cette étude, rendue publique par la Royal Astronomical Society, se base sur un nouveau modèle de mesure des cycles du Soleil capable de prévoir les changements de son activité. Valentina Zharkova, professeur d’astronomie et de mathématiques à l’Université de Northumbria, en a dévoilé les premières conclusions jeudi dernier lors du National Astronomy Meeting à LLandudno au Pays de Galles.
Dès la fin du XIXème siècle, des scientifiques avaient constaté que l’activité solaire variait environ tous les 11 ans. Les chercheurs britanniques ont récemment découvert que les mouvements de fluide à l’intérieur du Soleil devraient s’annuler lors des deux prochains cycles, produisant ce qui s’appelle "un minimum de Maunder" avec une diminution des tâches solaires donc de son activité.
Le dernier mini-âge de glace remonte à 1715
La planète Bleue a connu sa dernière "mini-période glaciaire" entre 1645 et 1715. Les hivers étaient alors très froids en Europe et aux Etats-Unis à tel point que la Tamise avait gelé à plusieurs reprises. Ce phénomène pourrait donc se répéter en 2030 et causer des scènes dignes de films catastrophe.