La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Cela s’est passé à Torpes dans le Doubs. Jugeant l’une de ses élèves trop agitée, l’enseignante a décidé de l’attacher à une chaise avec du scotch, rapporte l’Est Républicain. Pour l’institutrice, cette entrave avait une dimension pédagogique. En effet, selon elle, les liens étaient "symboliques" et "suffisamment lâches pour que l'enfant puisse se lever et partir".
Cette version ne correspond pas à celle de la mère de la petite Sarah (6 ans) qui indique sa fille "était totalement paralysée" et que celle-ci "ne pouvait plus bouger la tête". Une plainte a d’ailleurs été déposée à l’encontre de l’enseignante. Mais alors, que s’est-il passé ?
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L’enfant est décrite par la mère comme "débordant d'énergie" concédant que sa fille "se braque parfois facilement". Interrogée par RTL, la maman de Sarah soutient avoir eu "des retours hyper négatifs de la maîtresse" depuis la rentrée et avait par ailleurs constaté un changement du comportement chez sa fille depuis quelques temps.
"Elle s’est mise à faire à pipi au lit, à faire des cauchemars (…) à n’aller pas bien du tout" confie-t-elle sur la radio généraliste. C’est en voulant savoir ce qu’il se passait chez leur enfant que les parents de Sarah ont découvert qu'elle s’était retrouvée "humiliée" devant sa classe de moyenne section.
Lorsque la mère s’est rendue auprès de l’enseignante pour en savoir plus, cette dernière lui a répondu qu’il s’agissait d’une "plaisanterie". La directrice de l’école, au courant de l’affaire, a également souhaité minimiser en indiquant aux parents de Sarah qu’il "ne s’agissait pas non plus de chatterton". Le parquet de Besançon doit se prononcer prochainement sur les éventuelles suites de l'affaire.