Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
son livre, Cette belle idée du courage, Ségolène Royal s’est confiée sur cette vieille histoire que certains avaient rebaptisé le « tweetgate ». « On ne pas va revenir sur l’événement du tweet qui a aussi rendu la première dame très impopulaire » a commencé Alessandra Sublet. « Une question que je me suis posée en lisant votre livre : vous avez appris à pardonner beaucoup et vous avez énormément mûri : est-ce que vous lui avez pardonné aujourd'hui ? »
« le pardon c'est une chose, l'oubli c'est autre chose »
« Vous savez dans la vie quand on est trahi, quand on fait du mal - gratuitement en plus - quand c'est féroce et quand c'est violent. Si l'on veut survivre, il faut pardonner. Mais le pardon c'est une chose, l'oubli c'est autre chose » a répondu Ségolène Royal pour qui « Il faut avancer ». Elle s’est dit aussi « meurtrie » par cet épisode, même si pour elle, au fond, « ceux qui ont justement de la rancœur, qui sont rongés par la rancœur intérieure, ça se voit sur leur tête. Ça se voit dans leurs comportements » estime-t-elle, avant de conclure que « finalement, ils se font du mal à eux-mêmes ».
« un instinct que n'ont pas beaucoup des gens de son camp politique »
Une attitude qui semble rimer avec le titre de son dernier livre, un ouvrage qui a apparemment séduit Marine Le Pen. Invitée de Questions d’info, la présidente du Front National a souligné le « courage » de Ségolène Royal, ainsi que son « instinct politique ». Qualifiant son livre de « très joli, c’est vrai », Marine Le Pen a dit d’elle : « Je crois qu'elle ne manque pas de courage. Elle ne manque pas non plus d'instinct politique, elle a parfois un instinct que n'ont pas beaucoup des gens de son camp politique ».