De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Au moment de l’assaut du RAID et de la BRI dans un appartement de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) mercredi dernier, une image a retenu l’attention des téléspectateurs.
Il s’agit d’une femme, au visage quasiment recouvert d’un voile, se présentant comme une voisine de l’appartement des terroristes. La jeune mère qui se prénomme Sabine, alors interviewée par plusieurs médias, racontait les premiers instants de l’assaut des forces de l’ordre dans son immeuble.
Une image dénoncée par Nadine Morano
Mais beaucoup n’entendront pas son témoignage, bloquant sur cette image d’une femme voilée, ne laissant transparaître que ses yeux. L’image avait choqué Nadine Morano, dont les femmes voilées sont un de ses chevaux de bataille. Elle a alors posté sur Twitter ce message : "Le voile intégral en tout impunité sur les télévisions françaises…"
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Le jour même, voyant la polémique grimper, plusieurs journalistes ayant interviewé Sabine ont expliqué que la jeune femme avait porté ce voile car elle voulait garder l’anonymat alors qu’elle se savait passer à l’antenne.
Dans la vie quotidienne, elle porte un voile non intégral
Interrogée dimanche par Le Parisien, Sabine, qui dort désormais dans un gymnase, explique s’être voilée "de peur qu’on reconnaisse (son) visage. Je ne voulais pas. J’ai un enfant, c’est normal."
"Mais là je montre mon visage pour dire que je ne suis pas voilée, reprend la femme toutefois vêtue d’un voile noire qui lui couvre entièrement le front et ses cheveux. On voit mon visage, on voit mes mains, j’ai un piercing… c’est interdit [selon sa croyance]."
La jeune femme précise également qu’elle a dans la vie quotidienne ce voile avec lequel elle répond aux journalistes du Parisien (voir photo), sauf au travail où celle qui se dit gérante d’une entreprise l’enlève.
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