La marge vous permettant de ne pas être flashé sur l’autoroute par les voitures radar serait bien supérieure à 130 km/h. Et c’est la sécurité routière qui le dit.
La photo est en passe de faire le tour du monde tant sa dimension est symbolique. Une Syrienne originaire du village de Jebb Hassan Agha, une province d’Alep (Syrie), a jeté son niqab par terre après que les troupes de Daech ont déserté les lieux, rapporte le Huffington Post. Un signe de libération qui a fait le tour des réseaux sociaux.
Ce petit village se situe à 13 km au sud de Minjeb, un des fiefs du groupe Etat islamique qui est aujourd’hui totalement encerclé par les forces arabo-kurdes et les frappes américaines.
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Le maquillage, les fêtes, les mariages interdits
"Que Dieu les maudisse", a crié Doha Hajj Ali, une villageoise. "Ils disaient aux femmes 'cachez vos yeux, sœurs' ". Les habitants se réjouissent de cette libération et espèrent retrouver au plus vite une vie normale. "Tout était interdit : le maquillage, les fêtes, les mariages", ajoute la villageoise.
Mais pour le moment, le problème majeur reste le manque de vivres. Beaucoup d’enfants sont obligés de faire la manche.