Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
Des nouvelles de Jacques Chirac. Depuis que l’ancien président a été hospitalisé en 2005 après avoir été victime d’un accident vasculaire cérébrale, son état de santé ne cesse d’inquiéter les Français. D’autant que ses apparitions publiques se font de plus en plus rares et qu’il a été hospitalisé à deux reprises au cours des derniers mois. D’ordinaire peu encline à s’attarder sur ce sujet, son épouse a récemment accepté de nouvelles de son état de santé. "C’est quelqu’un de très énergique et très optimiste de nature", a-t-elle confié au micro de Radio télévision suisse (RTS). Il est possible qu’il ne se rende "pas compte à quel point sa vie a changé depuis l’AVC, deux ans avant sa retraite", a poursuivi l’ancienne Première dame.
- A lire aussi :Faut-il s’inquiéter pour Jacques Chirac ?
"Il n’est pas commode tous les jours"Visiblement à l’aise avec son interlocuteur, Bernadette Chirac a ensuite raconté que "(s)on mari n’est pas commode tous les jours". Et celle-ci de raconter tout en souriant : "quand il déjeune avec moi, il me dit : ‘Qu’est-ce que vous avait fait ce matin ?’ il n’attend pas la réponse et il me dit : ‘Rien, comme d’habitude’ !". Interrogée sur le vouvoiement auquel elle et son mari ont toujours eu recours, l’ex-locataire de l’Elysée a expliqué que c’était "une tradition familiale" et que quand son mari "veut (la) mettre de mauvaise humeur, il (la) tutoie". "Il s’est comporté avec moi comme il l’aurait fait avec sa mère"Forte de ces confidences, Bernadette Chirac a également abordé le retour de Nicolas Sarkozy. Expliquant attendre qu’il revienne dans l’arène politique, elle a affirmé : "il sait qu’il peut compter sur mon appui et mon militantisme", avant de souligner : "Il s’est comporté avec moi comme il l’aurait fait avec sa mère".
Vidéo sur le même thème - Bernadette Chirac : "La politique ? C'est Jacques Chirac!"