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Une jeune femme âgée de 17 ou 18 ans a été retrouvée sans vie dans un parc près d’un lycée à Perpignan. Son corps gisait à 2 mètres en contre-bas d’un ruisseau. Dans la soirée, un jeune homme s’est présenté à la police et a été placé en garde à vue. "Il y a suffisamment d'éléments pour le mettre en garde à vue et il avait suffisamment d'éléments pour venir s'expliquer", a indiqué le procureur de la République, Achille Kiriakides. Il a rajouté que la piste d’un crime crapuleux ou d’un rodeur avait été écartée.
La police scientifique, le procureur de la République, le préfet des Pyrénées-Orientales, Josiane Chevalier et le maire de Perpignan, Jean-Marc Pujol se sont rendus sur place.
La victime a pu être identifiée par les policiers. Elle avait disparu depuis la veille au soir.
"Les disparus de Perpignan"
Une histoire de jalousie serait donc à l’origine du drame. La victime vivait en concubinage avec cet homme. Il est décrit comme "nerveux" et "déséquilibré". D’autres personnes ont été entendues par les policiers.
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La jeune femme a reçu plusieurs coups de couteau notamment au visage, au torse, au cou et a été "égorgée" toutefois selon le procureur se terme est "exagéré". Le suspect lui aurait donné rendez-vous dans ce parc, puis ils se seraient isolés et le garçon aurait alors commis l’irréparable.
Perpignan avait déjà connu des meutres de jeunes femmes lors de "l’affaire des disparus de Perpignan". Quatre jeunes femmes avaient disparus dans des circonstances similaires et trois avaient été retrouvées assassinées. Trois des quatre meurtres ont été élucidés. Et la présence de deux meurtriers différents à permis d'écarter la piste d’un tueur en série.
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