Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Pas de piste sérieuse
Dimanche, les enquêteurs ont interpelé un jeune homme de 18 ans, qui présentait une « forte ressemblance » avec les photos du suspect. Il a finalement été relâché lundi matin. « Rien ne permet d'incriminer ce jeune, ni de près ni de loin » a indiqué Lydia Pflung, vice-procureur de Strasbourg. Samedi, l’interrogatoire de deux autres suspects n’avait rien donné non plus, mais les enquêteurs « continuent à explorer d’autres pistes », et les 59 lycées du Bas-Rhin restent pour l’heure sous surveillance renforcée.
Le canular de plus en plus crédible
Mardi, le parquet de Strasbourg a ouvert une information judiciaire contre X pour « communication ou divulgation de fausse information dans le but de faire croire que des homicides vont être commis », passible de deux ans de prison et de 30 000 euros d’amende. Lundi, Manuel Valls avait déjà évoqué l’hypothèse de la plaisanterie. « Ces menaces, il faut les prendre au sérieux. Je pense qu'il nous faudra encore du temps pour appréhender les auteurs de ces menaces (...) ou de ce canular » avait indiqué le ministre de l’Intérieur.