
L’enquête dans la disparition du petit Emile Soleil se poursuit et certaines théories émergent sur la mort du petit garçon, notamment celle sur la “signature d’un pervers”.
L’homme aurait justifié son opération en invoquant une question de sécurité. "Le directeur général de la filiale a dit que les choix (des porteurs de bagages) avaient été faits en fonction de l'apparence des salariés", a assuré Bruno Vergerolle, représentant syndical au CHSCT. Il a ensuite ajouté : "Il nous a expliqué que c'était par précaution pour éviter aux salariés de subir des vexations de la part du service de protection des hautes personnalités et du corps diplomatique".
La SNCF prend ses distances
Quant à la SNCF, elle dément absolument avoir communiqué une telle demande. La société nationale a également tenu à préciser qu’elle n’avait reçu aucune exigence de ce type de la part "des services du président israélien, monsieur Shimon Peres, ni du ministère des Affaires étrangères". La SNCF prend l’affaire avec beaucoup de précautions, le sujet étant particulièrement sensible.