La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Ce mardi 9 décembre François Hollande annoncé dans un communiqué a la libération de Serge Lazarevic détenu depuis le mois de novembre par des terroristes appartenant à AQMI. L'autre Français, Philippe Verdon, avec lequel il avait été capturé, avait été assassiné en juillet 2013. Serge Lazarevic était le dernier otage Français détenu à l'étranger.
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En "relative bonne santé", il est en route pour Niamey, au Mali. Il devrait-être rapatrié "rapidement". C'est dans un bastion de la rébellion touarègue, à Kidal dans le Nord du Mali, que le quinquagénaire a été libéré selon une source de sécurité malienne citée par l'AFP. Selon plusieurs médias, deux prisonniers touaregs ont fait office de monnaie d'échange dans la libération de Serge Lazarevic. Il s'agirait de ceux-là même qui ont procédé au rapt des deux Français. Toutefois, cette information reprise par certains journaux français n'a pas été confirmée.
C'est dans une vidéo publiée en novembre que Serge Lazarevic avait été aperçu vivant pour la dernière fois. Suite à la diffusion de cette séquence, sa fille s'était déclarée "choquée" par cette vidéo "très violente" dans laquelle son père évoquait de sérieux problèmes de santé. En outre, elle avait formulé le souhait de voir son père revenir pour les fêtes de fin d'année.
Les réactions de la classe politique
Au sein de la classe politique, les réactions n'ont pas tardé. Toutes les personnalités de premier plan ont ainsi salué l'issue heureuse de cette affaire. Le Premier ministre Manuel Valls a fait par sur Twitter d'un "immense soulagement".
Dans un communiqué, Nicolas Sarkozy a félicité "l'action remarquable de tous ceux qui ont contribué à sa libération".
Cette libération est le fruit de la coopération des services français avec les autorités nigériennes et maliennes.