La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Lundi soir, François Hollande, accompagné de Valérie Trierweiler et de l’ensemble de la délégation française, étaient les invités du président sud-africain au dîner d’Etat traditionnel. Ce dernier avait prévu les choses en grand et avait mis en place un orchestre de jazz afin de détendre ses invités. Une occasion pour Laurent Fabius de s’accorder quelques pas de danse au State guest House, une dépendance de la présidence.
La danse, un nouveau rituel sud-africain ?
La danse est très populaire en Afrique du Sud. Nelson Mandela s’était déjà prêté au jeu en 1994 lors de la visite de François Mitterand. Lundi soir c’est la ministre des Affaires étrangères sud-africaine, Maite Nkoana-Mashabane, qui a ouvert le bal. Côté français, c’est le représentant français, Laurent Fabius, qui s’est joint à elle pour quelques pas de danse.
Pourquoi Laurent Fabius ?
Le ministre des Affaires étrangères s’est prêté au jeu, non pas parce qu’il aime se déchaîner sur les pistes de danse, mais pour accompagner son homologue sud-africaine, Maite Nkoana-Mashabane. Jacob Zuma ne s’étant pas levé de sa chaise, François Hollande a trouvé préférable de rester, lui aussi, assis.
Un hôte a tout de même préférer préciser avec diplomatie qu’aucun "contact" n’a eu lieu entre les deux ministres pendant cette courte danse.