La fin de semaine et le week-end du 7 décembre seront marqués par un net refroidissement des températures et un risque de chutes de neige sur une bonne partie du pays. Voici, d'après les prévisions de La Chaîne...
Roselyne Bachelot est décidément une bonne cliente. Chaque sortie, chaque passage à la télé ou presque, est l’occasion pour l’ancienne ministre de faire une ou deux déclarations choc. Pour preuve ses prestations de chroniqueuse sur D8 qui font régulièrement le buzz. Invitée sur Canal+ mercredi 20 février, elle n’a pas failli à sa réputation.
Après avoir menacé Michel Denisot (pour rire évidemment), qui avançait que la bataille pour la mairie de Paris s’annonçait comme un « match féminin », de se « prendre une grande baffe dans la gueule », Roselyne Bachelot s’est prêtée au jeu de la Boîte à questions.
Sollicitée pour compléter la phrase « Chantal Jouanno qui appelle Jean-Louis Borloo… Jean-Louis Bordeaux, c’est… », Roselyne Bachelot répond sans hésiter « héhé, c’est un lapsus ! », et d’ajouter « mais je ne sais pas comment j’écris lapsus ». Une private joke sûrement qu’elle a été la seule à comprendre… Mais voilà une occasion supplémentaire pour l’ancienne ministre de la Santé d’ajouter une petite boulette à un catalogue de bourdes déjà bien fourni.
On se souvient par exemple de sa comparaison osée de la guerre à l’effet de la drogue. Invitée du 13h15 de France 2 en janvier dernier, Roselyne Bachelot à avait réagi à la décision de François Hollande de s’engager au Mali et avait conseillé au président d’être prudent. « Il joue très gros, parce que la guerre c'est comme la coke, c'est bon au début, mais après ça détruit » avait-elle déclaré. Ou encore de son « j’ai un peu l’air d’une pute », quand elle a testé la marche avec des talons de 12 cm pour le Grand 8.
« Là, c'est Cruella, c'est maîtresse Roselyne, il y a un petit côté SM. Vous m'amenez le corset de cuir et le fouet à lanières ? » avait-elle lancé sur le plateau de l’émission.