De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Julie Gayet a-t-elle fait pression sur François Hollande ? C’est en tout cas ce que laisse entendre le Journal du Dimanche cette semaine. Selon les informations de l’hebdomadaire, l’actrice à qui l’on prête une liaison avec le président aurait profité de leur proximité pour le faire changer d’avis concernant la publicité après 20 heures sur les chaînes publiques. Ce serait ainsi à cause d’elle que le chef de l’Etat aurait soudainement adopté une nouvelle position. En effet, alors que François Hollande avait envisagé l’idée de les remettre en place pour renflouer les caisses de France Télévisions et Radio France, la ministre de la Culture, Fleur Pellerin a finalement annoncé le weekend que cette piste avait été abandonnée. Un revirement qui, selon le JDD, serait dû à l’intervention de Julie Gayet laquelle a récemment signé une pétition contre ce retour de la publicité, aux côtés notamment de Claude Lellouch.
L’affaire des Beaux-Arts
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Julie Gayet a déjà été accusée d’utiliser sa relation avec François Hollande pour servir les intérêts de causes ou de personnes qui luis sont chères. En juillet dernier, il lui a été reproché d’être liée à l’éviction soudaine de Nicolas Bourriaud à la tête des Beaux-Arts et ce, pour y placer l’un de ses proches, Eric de Chassey, alors aux commandes de la Villa Médicis. Des accusations que l’actrice avait démenties et que le Journal des Beaux-Arts a ensuite démontées. Selon ses informations, Julie Gayet n’avait rien à voir avec cette affaire et aurait été la victime collatérale d’un plan fomenté par d’autres. D’après le journal, c'est le journaliste sportif Gérard Holtz qui aurait demandé à Manuel Valls d’écarter Nicolas Bourriaud dans le but de placer ensuite son épouse, Muriel Mayette-Holtz au poste d’Eric de Chassey. Un véritable jeu de chaises musicales.
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