La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Gérard Depardieu est en France ces jours-ci, où il arbore une nouvelle casquette : celle d’ambassadeur du cinéma russe dan l’Hexagone. A l’initiative du premier festival de cinéma russe à Nice, qui se tiendra du 14 au 17 juin prochain, l’acteur est donc venu parler culture sous le soleil méditerranéen, mais pas que. Répondant aux questions des journalistes, il en a aussi profité pour parler de sa nouvelle vie en Russie, où il se sent très bien.
« J'adore les Français »
« J'aimerais faire beaucoup de tourisme à l'intérieur des Républiques, d’abord en Mordovie où je suis domicilié. J'habite 1 rue de la Démocratie, à l'angle du boulevard du Bolchévisme et je m'y sens très bien » a confié l’acteur. Gérard Depardieu n’en oublie pas pour autant la France. « Je porte ma culture française ailleurs. J'apprends le russe, je connais leur culture parce que j'ai appris à lire avec les classiques de la littérature russe » a-t-il déclaré. « J'adore les Français. Je ne suis pas dans les salons, je suis souvent dans la rue et souvent avec des gens qui travaillent. J'ai transmis des choses, j'ai une centaine d'employés, j'essaie de faire ce que je peux » a-t-il ajouté.
« Je ne fuis pas le fisc, si je l'avais fui je serais parti depuis longtemps »
Quant à la question qui fâche, celle de son exil fiscal, Gérard Depardieu le redit : « Je ne fuis pas le fisc, si je l'avais fui je serais parti depuis longtemps » a-t-il indiqué. « Cela fait quinze ans que je vis moins de cinq mois en France (et je paye mes impôts mais ce n'est pas ça l'important), j'ai toujours été un voyageur et un citoyen du monde, fidèle à ce que mon père m'a inculqué » précise l’acteur, qui confie, non sans humour, que son comportement est parfois un peu extrême. « Parfois je suis un peu trop amoureux de la vie. Je m’endors sur un scooter, mais la police est très gentille avec moi » a-t-il plaisanté en référence à son procès pour conduite en état d’ivresse, que son emploi du temps chargé ne lui a pas permis d’honorer.