Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Metronews. « Je fais confiance à la justice de mon pays et je suis profondément attachée aux lois de la République ». « Tout va très bien »Visiblement peu inquiète, Frigide Barjot continue de vaquer à ses occupations. « Tout va très bien. Je travaille, je fais mes courses, et je prépare la journée du 17 novembre pour laquelle nous souhaitons rassembler de nouveau toutes les personnes qui ont manifesté l'année dernière à cette même date contre le mariage pour tous » a-t-elle expliqué. Et quelle que soit la décision du tribunal d’instance du XVe arrondissement de Paris, elle n’a pas l’intention, pour l’heure, de faire ses cartons. « Il n'y a aucune raison de faire des cartons… C'est un jugement de première instance » a déclaré Frigide Barjot.L'appartement de la discordeLa militante anti-mariage gay avait toutefois lancé il y a quelques semaines un appel au don pour sa « survie », affirmant que ces dons lui « permettront d’avoir un toit ». Frigide Barjot affirme ne pas savoir combien d’argent elle a ainsi, pour l’instant, récolté. Sommée de se mettre en conformité avec le bail qu’elle a signé, Frigide Barjot risque en effet de perdre son logement. La Régie immobilière de la ville de Paris lui reproche d’avoir domicilié sa société à son domicile, toute activité commerciale étant interdite dans les lieux d’habitation. Elle lui reproche également de se verser un loyer via sa société, ce qui équivaut à se sous-louer à elle-même une partie de son appartement.
Frigide Barjot saura ce mercredi si elle peut rester dans son appartement ou non. Opposée à la Régie immobilière de la ville de Paris, qui gère le HLM de 173 m² qu’elle occupe depuis des années, l’ancienne chef de file de la « Manif pour tous » se dit « confiante ». « Je suis sereine et confiante » a-t-elle confiée à