Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
cette enquête du Parisien, de plus en plus d’automobilistes auraient recours à des pratiques peu glorieuses pour pouvoir se garer plus facilement : la fraude aux cartes GIC (grands invalides civils). « S’il est aisé de sanctionner une personne qui se gare sans carte sur une place handicapée, contrôler l’authenticité d’une carte GIC apposée derrière un pare-brise est actuellement impossible » a récemment alerté le député-maire PS d’Asnière dans une lettre au ministère de l’Intérieur. « Cette situation permet donc tous les abus, de la falsification de la carte jusqu’à son utilisation par une personne autre que le titulaire officiel » indique Sébastien Pietrasanta.Des places de parking de plus en plus rares en villeL’Association des paralysés de France estime de son côté que des milliers d’automobilistes seraient prêts à tout pour obtenir cette précieuse carte, rapporte Le Parisien. L’usurpation et le trafic de ces très convoitées cartes GIC seraient donc devenus monnaie courante, d’autant que les places de parking en ville se font de plus en plus rares : à Paris, un tiers des places de stationnement auraient disparu ces dix dernières années, note l’association 40 millions d’automobilistes.Des fraudeurs difficiles à sanctionnerMais si la combine est connue, faire la chasse aux fraudeurs s’avère elle beaucoup plus compliquée. « La matérialisation de cette infraction reste compliquée à établir, certaines copies ou fausses cartes étant parfaitement imitées » a ainsi expliqué au Parisien la préfecture de police de Paris. Des mesures ont toutefois été prises pour « accentuer leur contrôle », mais ces actes d’incivilité sont de plus en plus récurrents : chaque année, ce sont quelque 150 000 PV qui sont délivrés pour stationnement illégal sur des places réservées aux handicapés.
A situation désespérée, solution désespérée ? Si l’on en croit