Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Pari réussi pour le club de la capitale. Qualifié pour la première fois à ce stade de la compétition depuis 1995, le club parisien a fait mieux que résister face aux assauts de la meilleure équipe du monde. Pour donner la réplique aux Messi, Xavier, Iniesta et autres Dani Laves, Carlo Ancelloti avait décidé de sortir l'équipe de gala. Si la titularisation de la star Zlatan Ibrahimovic ou celle de Thiago Silva ne souffraient aucune contestation, celles de Beckham, Lavezzi, ou encore du prodige Lucas Mourra, tous plus ou moins à court de forme, constituaient un pari.
Messi... Ibra !
Pour beaucoup pourtant, tout semblait déjà écrit ou presque : un but de l'inévitable Lionel Messi, et un FC Barcelone en mode "toque" qui gardait la possession du ballon. Oui mais ça, c'était en première mi-temps. Privé de l'inspiration de leur maître à jouer argentin, sorti pour blessure, les "Blaugrana" dominaient assez stérilement une rencontre engagée où les Parisiens jouaient crânement leur chance en se créant de véritables occasions. Un match du PSG version 2012-2013 est-il vraiment un match du PSG sans un but d'"Ibra" ? Apparemment la réponse est non.
Le PSG ne lâche rien
Il fallait une sortie aussi hasardeuse qu'inutile de Sirigu pour permettre aux Barcelonais de reprendre l’avantage. Mais c'était sans compter sur Matuidi. Dans tous les bons coups, le gros bras du milieu de terrain est passé de Schwarzenegger à Hitchcock : en égalisant dans les dernières secondes, il a prouvé son goût du suspense. Dans un Parc des Princes en joie, les joueurs du prince Tamim ben Hamad Al Thani ne se sont pas ouvert la voie royale, mais c'est tout comme. Avis aux esprits chagrins : le football français est de retour au premier plan. Il devra en tout cas le confirmer mercredi prochain, pour le match retour.