De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
prélèvement d'organe suivi d'une transplantation sans que les autorités compétentes ne soient au courant » indique El Mundo. Pour l’heure, cette quadragénaire affirme n’avoir reçu aucune offre pour ses organes. Elle aurait déjà, cependant, pris contact avec un médecin à Mellila, ce petit bout de terre espagnole situé au Maroc…
C’est un peu la tentative de la dernière chance. Selon le journal El Mundo, une mère de famille espagnole aurait publié il y a une quinzaine de jours une annonce sur internet pour mettre en vente plusieurs de ses organes. Un geste de désespoir pour cette femme de 44 ans qui n’a pas trouvé d’autres solutions pour pouvoir offrir un logement à sa fille. « J'ai d'abord mis en vente un rein, maintenant je propose aussi les cornées de mes yeux, un de mes poumons, un morceau de mon foie... Je vends n'importe quel organe de mon corps à qui peut le payer, et je fais cela parce que je suis tout simplement désespérée » a-t-elle expliqué dans une interview au quotidien espagnol. Au chômage, cette Espagnole pourrait bientôt se retrouver à la rue. Son ancien compagnon, avec qui elle a vécu 18 ans et qui lui aurait fait subir de mauvais traitement, tenterait en effet de la faire expulser. « J'ai reçu un préavis d'expulsion pour ma fille et moi. Nous n'avons pas de famille, nous ne savons pas où aller » affirme-t-elle. Et d’ajouter : « J'ai besoin d'un logement pour y installer mon foyer, dans un endroit digne. »Elle risque 12 ans de prison « Je n'ai pas d'autre moyen pour essayer de sauver ma vie et celle de ma fille. Si avec le temps qu'il me reste à vivre je peux ainsi donner à ma fille la force qui lui permette de sortir de cette situation, bien sûr, je vends mes organes. » Mais dans son malheur, cette femme, aussi désespérée soit-elle, risque tout de même jusqu’à 12 ans de prison pour trafic d’organes. « En Espagne, il est pratiquement impossible de faire un