Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Ce vendredi soir, entre 19 heures et minuit, les centrales de Penly en Seine-et-Marne, Flamanville dans la Manche, Saint-Laurent-des-eaux dans le Loir-et-Cher, Dampierre-en-Burly dans le Loiret et Fessenheim dans le Haut-Rhin, ont été survolées par des dronesselon des sources proches du dossier.
Cependant, personne n'a souhaité confirmé l'information au ministère de l'intérieur, à la gendarmerie ou chez EDF.
Déjà jeudi soir, deux autres centrales avaient été survolées dans la soirée par des drones non neutralisés "car ils ne représentaient pas de menace directe".
"Aucun danger pour la sécurité des installations survolées"Selon Le Parisien, ces survols font suite à neuf autres survols qui ont eu lieu depuis début octobre. Se pose désormais la question de la sécurité sur ces sites particulièrement sensibles, même si le ministère de l'Intérieur a affirmé jeudi dernier que tous ces survols avaient été "détecté", mais ne posaient "aucun danger pour la sécurité des installations survolées, qui sont censées résister à des secousses sismiques de forte magnitude ou à des crash d'avions de ligne".
Pierre-Henry Brandet, porte-parole du ministère de l'Intérieur, avait d'ailleurs précisé que "ces drones de petite taille, qu'on peut acheter facilement dans le commerce, ne représentent aucun danger. Parvenir à survoler une centrale nucléaire ne signifie pas que l'intégrité de l'installation est menacée".
Rappelons que le survol des centrales nucléaires est prohibé dans un périmètre de 5 kilomètres autour des sites, et 1 000 mètres d'altitude, sous peine d'un an de prison et 75 000 euros d'amende.