La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Ce sont les parents d’élèves qui ont d’abord contacté la presse régionale, très surpris par le sujet du devoir. « Nous sommes révoltés que l'on puisse proposer ce genre de sujet à des enfants qui ont entre 13 et 14 ans. De par notre éducation, nous n'avons pas l'habitude de remettre en question ce qui se passe à l'école, mais il y a des limites. Quel va être le prochain sujet ? Que ressentez vous lorsque vous vous piquez ? On aimerait comprendre » ont-ils écrit au quotidien La Charente libre.
Le directeur d’académie a également été saisi et devrait entendre l’enseignant afin qu’il s‘explique sur son « intention pédagogique ou éducative derrière la façon de poser la question » a indiqué Jean-Marie Renault. « Nous verrons s'il y a matière à donner une suite disciplinaire ou pas ». Les élèves ont eux aussi été quelque peu déroutés par l’énoncé. « Quand le prof nous a donné le sujet, ça nous a étonnés. On lui a posé des questions. Il n'a pas voulu répondre, et nous a dit : C'est comme ça » explique l’un deux au journal. Du côté du syndicat enseignant Snes-FSU, on assure que « le sujet était un autoportrait fictif », et qu’il y a certainement eu « un décalage entre l'interprétation faite par quelques parents » et la réalité.