Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Difficile de ne plus voir la huitième vague qui déferle sur le pays. La crise sanitaire est loin d’être derrière nous, contrairement à ce qu’ont pu annoncer certains dirigeants occidentaux et les cas de contamination au coronavirus Covid-19 repartent à la hausse en France. "La circulation du SARS-CoV-2 s’est accélérée sur tout le territoire métropolitain après une première semaine d’augmentation plus modérée", écrivait d’ailleurs Santé Publique France, à l’occasion de son bilan régulier. Ce dernier a été publié le 22 septembre et dresse le portrait du pays sur une semaine.
Dorénavant, informe Libération sur son site, ce sont toutes les classes d’âges qui sont concernées par la reprise épidémique, qui a d’abord été constatée chez les plus jeunes. La reprise des cours n’a pas été sans impact à cet égard, mais le rebond a ensuite pu se diffuser dans le reste de la population. Désormais, c’est même l’hôpital qui est touché puisque l’on recense, en moyenne, 417 admissions quotidiennes le 22 septembre 2022. Le taux d’occupation est en hausse de 15% sur une semaine, ce qui le ramène à 13,6% à l’échelle nationale, souligne CovidTracker. Certains départements sont plus menacés que d’autres et pourraient avoir plus de mal à gérer une explosion des cas. Plus d’informations à ce sujet dans notre diaporama, que vous retrouverez en conclusion de cet article.
Covid-19 : faut-il s’attendre à un retour des restrictions ?
Les autorités sanitaires, face à la reprise de la crise sanitaire, ne restent évidemment pas les bras croisés. Pour autant, il ne faut à priori pas s’attendre à un quelconque retour du confinement ou même du couvre-feu. Le gouvernement, soulignent nos confrères, entend bien se contenter de la seule arme vaccinale et encourage désormais l’utilisation de vaccins "bivalents", considérés plus efficaces contre les variants. "Leur efficacité clinique équivalente voire supérieure à celle des vaccins originaux monovalents", a ainsi précisé la Haute Autorité de Santé.