De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
"Oui, je suis candidate pour un deuxième mandat", a déclaré ce matin sur France2 la directrice du Fond monétaire international (FMI), Christine Lagarde.
Cette déclaration arrive au lendemain de l'ouverture du processus de désignation par le FMI qui prendra fin le 3 mars prochain. L'ancienne ministre de l'Economie avait été élue en 2011 pour remplacer Dominique Strauss-Kahn, dans la tourmente du scandale du Sofitel de New York. Son mandat se termine le 5 juillet. Pour le moment aucun concurrent ne s'est déclaré face à elle.
Malgré l'affaire Tapie-Crédit Lyonnais, le conseil d'administration du FMI ainsi que le gouvernement français lui ont renouvelé sa confiance. "La France a toute confiance en Mme Lagarde", a déclaré Manuel Valls cette semaine.
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Soutien des grandes puissances
De son côté, Christine Lagarde a assuré avoir le soutien de plusieurs grandes puissances comme la Grande Bretagne, l'Allemagne ou encore de la Chine." J’ai eu l’honneur de recevoir dès le début de la procédure des soutiens de la France, de la Grande-Bretagne, de l’Allemagne, de la Chine, de la Corée [du Sud]." a-t-elle ajouté sur France2.
Cette popularité est aussi vérifiée au sein de l'opinion française. Selon un sondage effectué fin 2015, un Français sur deux verrait bien Christine Lagarde à l'Elysée. Lors d'une interview accordé à Planet.fr, Marie Visot, coauteur d'Enquête sur la femme la plus puissante du monde avait affirmé : "Les Français sont fiers d’elle ! Non seulement elle est à la tête du Fonds monétaire international (FMI) mais en plus elle dégage l’image d’une femme élégante, qui s’exprime de manière soignée et maîtrise l’anglais. Ce sont des petits détails mais ils comptent pour les électeurs."