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Personne ou presque n’a été oublié par Valérie Trierweiler. Dans Merci pour ce moment, Valérie Trierweiler s’attache non seulement à déballer sa vie privée avec François Hollande mais décrit également plusieurs moments qui ont marqué le mandat du président socialiste. De l’éclatement de l’affaire du Sofitel de New York au cœur de laquelle s’est retrouvé DSK en 2011 en passant par la cérémonie de passation de pouvoirs entre l’actuel chef d’Etat et son prédécesseur un an après, l’ex-Première dame fait un véritable plongeon dans ses souvenirs.
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A propos de la journée du 15 mai 2012 où François Hollande a officiellement pris la succession de Nicolas Sarkozy à l’Elysée, Valérie Trierweiler revient ainsi sur un échange qu’elle a eu avec Carla Bruni-Sarkozy : "Carla et moi aurions pu échanger bien plus longuement", prévient-elle d’emblée, faisant notamment valoir un "pacte de non-agression" dont elles auraient convenu pendant la campagne présidentielle.
"Je suis heureuse que tout ça s’arrête"La journaliste de Paris Match retranscrit ensuite une partie des confidences que lui a faites l’interprète du Pingouin pendant leur conversation d’une quarantaine de minutes. "Je ne devrais pas le dire, mais je suis heureuse que tout ça s’arrête. Ce sera plus facile pour vous car les journalistes sont vos amis", lui aurait soufflé Carla Bruni-Sarkozy, faisant alors référence au traitement médiatique qui lui a été réservé en tant qu’épouse du président et dont elle a toujours souffert.
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Nicolas Sarkozy "aura besoin de sa revanche"Mais si la femme de Nicolas Sarkozy s’est déclarée soulagée de pouvoir quitter "la médiatisation à outrance et les médisances", elle a également exprimé quelques inquiétudes pour son mari : "J’ai peur que sans la politique, mon mari perde le sens de la vie". Ce à quoi Valérie Trierweiler lui aurait répondu : "Je connais les hommes de ce niveau, puisque je vis avec l’un d’entre eux. Ce sont des hommes qui ne pourront jamais arrêter la politique".
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Et l’auteure de Merci pour ce moment, d’analyser quelques lignes plus loin que Nicolas Sarkozy "aura besoin de sa revanche".