De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Valérie Trierweiler peut compter sur le soutien de Bernadette Chirac. Alors qu’elle se repose désormais à la Lanterne, la compagne de François Hollande a reçu un petit mot de soutien de la part de l’ancienne Première dame. Bernadette Chirac a en effet confié sur Europe 1 qu’elle lui avait envoyé une lettre dans laquelle elle dit prendre « part à sa tristesse ». «Tout ça va s'arranger très vite »« Je ne l'ai pas eue récemment au téléphone parce que je ne veux pas être indiscrète » a déclaré Bernadette Chirac. « Elle est probablement très fatiguée. Si elle a été à l'hôpital pendant huit jours, ce n'est sûrement pas sans raison. Mais en revanche, je lui ai écrit un tout petit mot » a-t-elle indiqué. « Je lui ai dit que j'entendais les nouvelles qui étaient données par les journalistes et que je prenais part à sa tristesse, parce que je pense qu'elle est triste, c'est ce qui transparaît dans les nouvelles qu'on nous donne, et que je pensais à elle et que certainement tout ça va s'arranger très vite ». Des Premières dames solidairesAprès Cécilia Attias, c’est donc au tour de Bernadette Chirac de venir se ranger derrière Valérie Trierweiler. Dans une interview récemment accordée à un journal allemand, Carla Bruni-Sarkozy avait elle aussi indiqué ne pas vouloir « faire partie de la meute », précisant qu’elle aussi avait souffert de la pression médiatique durant le mandat de son mari. Entre Premières dames, on se comprend donc. Valérie Trierweiler attend toujours, elle, d’être fixée sur son sort, François Hollande ayant promis de clarifier sa situation d’ici le 11 février prochain.