De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
DSK a fait le tour de l’affaire du Sofitel. Au cours d’une récente interview accordée à la chaîne américaine CNN et diffusée mercredi soir, Dominique Strauss-Kahn s’est confié sur les évènements qui l’ont conduit à démissionner de la présidence du Fonds monétaire international (FMI) et à mettre un terme à ses ambitions politiques en France. Arrêté en 2012 après avoir été accusé par une femme de chambre du Sofitel de New York de l’avoir sexuellement agressé, l’homme assure aujourd’hui : "je ne pense pas avoir de problème avec les femmes". Et alors que sa vie privée a ensuite été déballée sur la scène publique, DSK a poursuivi en estimant qu’il avait cependant "certainement un problème pour n’avoir pas compris que ce que l’on attend d’un homme politique de très haut niveau est différent de ce que peut faire Monsieur Tout-le-Monde". Et d’ajouter : "J’ai fait cette erreur" de penser qu’on pouvait avoir vie politique et vie privée "ensemble, sans lien entre elles".
DSK veut tourner la page
Mais si DSK ne cache pas son amertume et sa "colère" envers les évènements qui se sont déroulés outre-Atlantique, l’ancien responsable politique assure vouloir tourner la page. "Désormais, les problèmes de la politique française sont derrière moi (…) Je travaille de par le monde avec les gouvernements, je suis content d’aider et j’aime cela", a-t-il ainsi indiqué. Revenant sur le pan judiciaire de cette affaire, l’ancien époux d’Anne Sinclair a expliqué : "Quelque chose est arrivé qui relevait de la vie privée et je pense toujours que ce qui s'est passé dans cette chambre d'hôtel relève de la vie privée, à moins qu'un procureur vous dise que vous allez être inculpé pour avoir fait quelque chose et qu'il en ait les preuves (…) Mais quand le procureur vous dit 'OK, finalement, nous n'avons pas de quoi vous inculper', cela veut dire que c'est une affaire privée, et personne n'a rien à dire là-dessus".
Interrogé par le journaliste sur la théorie d’un complot monté de toute part, DSK a confié qu’il n’y accordait qu’un simple "crédit" mais que, n’en ayant "pas la preuve", il considère qu’il vaut "mieux qu’il ne dise rien".
Regardez un extrait de l’interview de DSK sur CNN :