La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
sa mise en examen jeudi 21 mars par le juge Gentil, l'ancien président de la République peut compter sur les doutes du parquet : le procureur de Bordeaux a en effet décidé de requérir un non-lieu. C'est Le Parisien qui révèle la teneur du rapport remis à la Direction des affaires criminelles et des grâces (DACG) du ministère de la Justice par son représentant à Bordeaux.
Enfin une éclaircie dans le ciel orageux qui obscurcit l'avenir de Nicolas Sarkozy ? Dans la tourmente depuisMis en cause, il a toujours nié
Mis en cause par plusieurs employés de Liliane Bettencourt lors des différentes auditions, puis lors des confrontations qui ont eu lieu dans le bureau du juge d'instruction, l'ex-chef de l'Etat a toujours nié son implication dans l'affaire. Tout juste a-t-il reconnu une seule et unique visite, en 2007, au domicile de l'héritière de L'Oréal, à Neuilly, dont il fut longtemps maire.
Un juge indépendant du parquet
Une position qui n'a pas convaincu le juge Gentil, qui a choisi de faire passer l'ancien chef de l'UMP du statut de témoin assisté à celui de mis en examen. Manque de preuves, lui répond implicitement le procureur de Bordeaux, qui plaidera vraisemblablement le non-lieu. En effet le rapport remis à la Chancellerie préfigure très souvent le réquisitoire final, dans trois mois. C'est cependant le juge d'instruction, instance judiciaire indépendante du ministère de la Justice, qui a le dernier mot sur le parquet.