Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
En insinuant que le Paris-Saint-Germain tirait avant tout sa légitimité sportive des investissements colossaux consentis par les pétrodollars de ses propriétaire qataris, le joueur a continué sur sa lancée d'avant match. Il s'était alors illustré par une sortie décapante : "L'argent n'achète pas la cohésion". Money money money… C'est bien connu, c'est le nerf de la guerre. Or à en croire l'international tricolore le FC valence semble être pauvre comme Job. En y regardant de plus près, comme le Real Madrid et le FC Barcelone, le club che traine pourtant une dette colossale de 350 000 millions d'euros et vit au dessus de ses moyens depuis bien longtemps.
Repris de volé sur les réseaux sociaux, Adil Rami a rapidement compris qu'il devait faire machine arrière devant les réactions indignées des internautes, comme celle de l'ex-joueur du PSG, Ali Benarbia. "Rami ? Beaucoup de joueurs sont jaloux des contrats qu’ont les joueurs du PSG" a-t-il déclaré. La forte tête d'1,90 mètre, que son ami judoka Teddy Riner décrit comme ayant "un gros mental", a immédiatement tombé le short pour enfiler le costume de pompier de service. Deux heures après le match, Rami postait sur twitter : "Quand j'ai dit que les dollars ont gagné, j'ai voulu dire que c'était un très très bon recrutement qu'a effectué le PSG, alors bravo à vous !".