De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Vincent Cassel n’a pas mâché ses mots. Alors qu’il était invité dans l’émission Conversation secrète, l’acteur a été interrogé sur la montée du parti d’extrême droite en France. L’occasion pour lui de dire tout le bien qu’il en pense. "Je vois une bande de mecs grossiers, vulgaires, incultes, énervés", a-t-il en effet répondu ; avant d’ajouter : "c’est le flip, quoi".
"Je sais même pas comment les gens ont envie de voter pour ces gens-là"Et celui-ci de poursuivre sur sa lancée en commentant les images de Bruno Gollnisch s’en prenant à des journalistes lors du dernier défilé du 1er mai : "Je sais même pas comment les gens ont envie de voter pour ces gens-là (…) ça fait flipper". Evoquant ensuite son propre cas lors des élections, Vincent Cassel a regretté : "le problème, c’est que j’aimerais bien voter pour quelqu’un et non contre un candidat. Je trouve qu’à ce jeu-là on se fatigue".
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Loin de ne s’en prendre qu’au parti présidé par Marine Le Pen, l’acteur qui a longtemps partagé la vie de Monica Bellucci a confié ne plus voir "une grande différence entre la gauche et la droite". "J’ai l’impression que tout le monde travaille un peu pour la même enseigne, à quelques détails près. Je n’ai pas l’impression qu’il y ait une gauche de gauche. On est un peu au centre de toute façon en France", a-t-il déploré. Et de poursuivre en estimant que le pays est aujourd’hui devenu "un vieux pays" malgré les "qualités" incontestables de ses habitants.