La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
La victoire écrasante de François Fillon à la primaire de la droite et du centre, avec 44,1% des votes, ainsi que celle d'Alain Juppé à 28,6%, ont brisé dimanche les espoirs de Nicolas Sarkozy. Le candidat, qui a plafonné à 20,6%, a reconnu sa défaite dans un discours prononcé juste après les résultats.
Il a notamment remerciéson équipe de campagne et sa famille, puis a vaguementévoqué... la fin potentielle de sa carrière politique. "Il est temps pour moi d’aborder une vie avec plus de passion privée et moins de passion publique", a-t-il annoncé sous les applaudissements de ses supporters.
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Nicolas Sarkozy, plus prudent qu'en 2012 ?
Cette déclaration rappelle bien sûr celle qu'il avait prononcée avant sa défaite contre François Hollande, vainqueur de l'élection présidentielle de 2012. L'ex-chef de l'État, interrogé par Jean-Jacques Bourdin sur RMC, avait alors assuré qu'il abandonnerait la politique si son adversaire était élu.
Moins catégorique qu'à l'époque, Nicolas Sarkozy préfère peut-être anticiper un éventuel retour, comme celui qu'il a opéré cette année. En attendant, le candidat affirme n'éprouver "aucune amertume", "aucune tristesse". Il a indiqué qu'il voterait pour François Fillon, sans pour autant donner de consignes à ses partisans.