Une conductrice a saisi le Conseil d'État après avoir reçu une contravention pour stationnement. Et la juridiction lui a donné raison. Explications.
Les journalistes présents au siège de l’ONU le mercredi 26 septembre se souviendront sûrement de cette scène surréaliste.
Ségolène Royal, venue assister la réunion de l'Internationale socialiste parle à la presse, quand, au même moment arrive à quelques mètres de là François Hollande, escorté par son équipe.Surpris par la présence de la présidente du Poitou-Charentes, ces derniers font une halte.
Les journalistes, toujours avec Ségolène Royal, lui demandent si elle compte aller le saluer.
"Oui, si le protocole le permet" répond-t-elle, avant d’ajouter "Vous savez, on n'est pas dans des postures de démonstration, de mise en scène".
Ségolène Royal finit par déclarer aux journalistes "je vais peut-être lui dire bonjour", en riant.
Mais le président et son équipe ont fait demi-tour, prétextant un entretien de dernière minute avec le Premier ministre malien.
Et pendant ce temps-là, Valérie Trierweiler, loin de cette scène incongrue, visitait la Morgan Library and Museum avec l’épouse de Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU.