Pendant la période des fêtes de fin d’année, une nouvelle méthode de fraude particulièrement sournoise émerge : des faux conseillers bancaires qui utilisent WhatsApp pour tromper les Français.
il se présenterait "quoiqu’il arrive" à la présidentielle de 2017. Jeudi 11 juillet, le candidat UMP l’a confirmé, il a bel et bien décidé de ne plus marcher dans l’ombre de Nicolas Sarkozy. Lors du grand meeting qu’il a donné jeudi soir, l’ancien premier ministre a déclaré que son parti, l’UMP "ne peut pas vivre immobile dans l'attente d'un homme providentiel", soit Nicolas Sarkozy.
François Fillon l’avait déjà prévenu,François Fillon a ensuite ajouté avoir "écouté avec intérêt et respect" le discours de Nicolas Sarkozy lors de son grand retour au bureau politique de l’UMP, ce lundi 8 juillet. Toutefois, celui-ci ne l’a pas totalement convaincu : "je ne lie pas l'avenir de l'UMP à un homme. Le temps de l'opposition est fait pour débattre, réfléchir, susciter des nouveaux talents, faire des bilans, élaborer un projet nouveau. Et pour ce faire, l'UMP ne peut vivre immobile, congelée, au garde-à-vous, dans l'attente d'un homme providentiel !"
La réponse à l’attaque de Nicolas SarkozyComme le rappelle Métro, lundi, lors de son grand discours de retour, l’ancien chef de l’Etat avait taclé François Fillon en glissant un : "il y a quelque chose d'indécent à parler du rendez-vous de la présidentielle alors que les Français souffrent." Une petite pique qui n’a pas échappé à l’ancien premier ministre, qui avait déclaré début mai qu'il se présenterait en 2017. Il a profité de son temps de parole pour répondre : "chacun a le droit de vouloir servir son pays et chacun aura le droit d'être candidat aux primaires, mais personne ne peut dire ‘Circulez, il n'y a rien à voir, le recours c'est moi !’ ". Tout ceci, sans n’avoir jamais nommé explicitement l’ancien président de la République.