Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Rien ne va plus. Les militants qui se sont allés surfer sur le site de l’UMP dans la nuit de mercredi à jeudi n’ont certainement rien dû comprendre. Le site de la fédération a en effet annoncé le recomptage des voix de la primaire du parti et la défaite de Nathalie Kosciusko-Morizet face à Jean-François Legaret. Le site de l’UMP indiquait ainsi que "suite aux nombreuses suspicions de fraudes dues au vote électronique, la Commission d’Organisation et de Contrôle des Opérations Electorales de l’UMP a été saisie et a décidé de ne pas prendre en compte l’ensemble des votes litigieux (…) Après recompte, Jean-François Legaret remporte l’élection primaire ouverte pour l’alternance à Paris en 2014". Ce dernier obtenait alors 32,86% des voix tandis qu’en réalité il n’en a rassemblé que 20,46%.
"Nathalie Kosciusko-Morizet félicite Jean-François Legaret pour sa victoire"
Sous le tableau de ces « nouveaux » résultats était par ailleurs écrit : "Nathalie Kosciusko-Morizet félicite Jean-François Legaret pour sa victoire et appelle au rassemblement sans polémique de tous les sympathisants pour reprendre Paris à la gauche en 2014".Quelques heures après cette publication, le message a été effacé du site et les résultats officiels remis en ligne. Mais alors que l’UMP a annoncé mercredi son intention de passer outre les soupçons de fraude qui n’on cessé d’émailler ce scrutin, ce piratage n’en suscite pas moins une question : qui a fait ça ? Est-ce l’œuvre d’un membre du parti ou bien celle d’un plaisantin ?
Dès le premier tour du scrutin, les soupçons de fraudes sont apparus :