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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
"Il n’y a pas de quoi faire tout un plat". À l’entendre, ou plutôt à le lire, Alain Juppé accorderait peu d’importance aux sifflets qu’il a essuyé lors du meeting de Nicolas Sarkozy samedi dernier à Bordeaux. Face à la polémique créée par ces huées, le candidat à la primaire de l’UMP a réagi sur son blog lundi. Ainsi, le maire de Bordeaux estime qu’il a "vu pire" mais il considère que le parti d’opposition gagnerait toutefois à "en tirer des leçons".
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En outre, il a rappelé attendre des "clarifications" concernant l’organisation des "primaires largement ouvertes", thème qui lui a valu une bronca dans cette salle acquise à Nicolas Sarkozy. Interrogé plus tard dans la journée dans le cadre d’un point presse, Alain Juppé a récusé la théorie du piège tendu par son adversaire.
"Il n’y avait pas de traquenard du tout" a-t-il estimé. Enfin, et histoire de minimiser les tensions entre les deux prétendants à l’investiture UMP pour 2017, Alain Juppé a juré : "je ne suis pas en guerre contre Nicolas Sarkozy". Comme toujours, en politique, les promesses n’engagent que ceux qui les croient.
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