La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Elle a balayé la rumeur. Invitée dimanche sur le plateau de TF1, Ségolène Royal a déclaré que l’hypothèse de son entrée au gouvernement en cas de remaniement ministériel dans les semaines à venir, n’était absolument "pas d'actualité". "Je suis à la tête de ma région (Poitou-Charentes), j’y suis suis fidèle, j'y ai engagé des réformes très importantes (...) et j'entends conduire ces chantiers jusqu'au bout", a-t-elle-même assuré. Interrogée sur le bilan de la première année de François Hollande à la tête de la France, celle qui briguait l’Elysée en 2007 a estimé que "beaucoup de choses ont été faites, mais il reste beaucoup de choses à accomplir".
"Il faut maintenant accélérer"Et alors que certains membres du PS ont appelé le président de République a entamé la deuxième ère de son mandat au plus vite, l’ex-compagne du chef de l’Etat a expliqué : "On est dans une phase où il faut maintenant accélérer, fixer sans doute deux-trois grandes priorités bien claires. Il faut que le gouvernement trouve vraiment un esprit d'équipe. Qu'il n'y ait plus de dissensions". Concernant la cote de popularité de l’exécutif qui ne cesse de chuter depuis quelques semaines, la présidente du Poitou-Charentes a regretté que "du temps ait été perdu"». Selon elle, "la mariage pour tous aurait dû être fait l’été dernier, de même que la réforme de la décentralisation". Et de poursuivre : "A cela s’ajoute l’idée que les réformes faites dans le domaine ne sont pas à la hauteur des enjeux. Il faut impérativement une bataille globale sur l’emploi".