Yannick Neuder est un nom quasi inconnu des Français comme il l'était des médias. Et pourtant il vient d'être nommé au ministère du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles en renfort de...
Le vent semble avoir définitivement tourné en la faveur de Ségolène Royal. Oublié ses défaites de 2007 et 2012, oublié sa traversée du désert… depuis que Valérie Trierweiler et François Hollande se sont séparés, la Dame du Poitou est non seulement revenue sur devant de la scène politique, mais n’en finit pas de gravir les échelons. Après avoir enfin pu intégrer l’équipe gouvernementale en étant nommée tête de l’Ecologie depuis 2014, l’actuel numéro 3 du gouvernement serait en effet en passe de devenir numéro 2. Paris Match révèle cette semaine que François Hollande aurait décidé de la promouvoir et qu’elle aurait accepté. "A moins de dix jours de ce qui est annoncé comme l’ultime remaniement du quiquennat, (un) proche de la ministre de l’Ecologie assure que la décision est actée", écrit l’hebdomadaire. Actuel numéro 2, Laurent Fabius serait quant à lui pressenti pour prendre les commandes du Conseil constitutionnel.
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Sa "forte stature internationale"
Ce choix aurait notamment été motivé par "la forte stature internationale"dont jouit Ségolène Royal, mais aussi par "sa crédibilité sur l’environnement" et par "sa très grande proximité avec le chef de l’Etat", précise le magazine qui ajoute que "le président avait évoqué l’idée avec son ex-compagne avant la conférence sur le climat et confirmé sa proposition lors de son voyage en officiel en Inde, le 26 janvier dernier".
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