De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Elle mène la bataille pour Paris au nom des Républicains. Rachida Dati, qui a obtenu l’investiture de son parti pour les municipales 2020 dans la capitale, était invitée dans l’émission C à vous lundi 18 novembre et a donné son point de vue sur l’actualité des derniers jours, notamment la manifestation des Gilets jaunes, dénonçant "une violence inacceptable". Mais, comme le souligne Télé Loisirs, son débat avec les chroniqueurs s’est rapidement recentré autour d'une ancienne polémique liée à la manière dont elle s’habille.
Robe Dior en couverture de Paris Match
Lorsqu'elle était garde des Sceaux, Rachida Dati a posé en Une de Paris Match vêtue d’une robe Dior, ce qui, à l’époque, avait choqué l’opinion. "Cette robe, je l’ai portée lors d’une conférence qui avait eu lieu à l'Élysée au moment de la remise d’un rapport par Denis Olivennes sur la licence globale, a-t-elle rappelé. Ensuite, j’ai eu un déjeuner de presse et il y a eu des photos de faites, mais à aucun moment je n’ai validé la Une, je n’ai pas validé la photo et je ne savais pas laquelle serait en couverture", a affirmé Rachida Dati, ajoutant que "c’était une erreur, parce que j’aurais dû demander quelle photo serait en Une".
Une explication qui n’a pas eu l’air de convaincre le journaliste Patrick Cohen, puisqu’il a rappelé qu’il y avait dans ce numéro "trois doubles pages, avec des photos où on voit vos collants résilles". Une remarque qui a fortement énervé la maire du 7e arrondissement de Paris, qui lui a répondu : "Monsieur Cohen, j’ai le droit de porter les collants que je veux et les bottes que je veux !".
"Ça ne s’est jamais reproduit parce que j’ai compris après qu’on pouvait demander à un magazine, éventuellement, quelle photo on pouvait mettre [en une, ndlr]", a conclu l’ancienne garde des Sceaux. Cet échange entre Rachida Dati et Patrick Cohen a énervé de nombreux internautes, certains reprochant au journaliste d'avoir eu une remarque "sexiste" envers la femme politique.