De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
L'élection présidentielle française de 2022 pourrait connaître une candidate supplémentaire en la personne de Ségolène Royal, selon une information de France info. Interrogée par Radio Canada, l'ancienne ministre socialiste et candidate malheureuse à l'élection présidentielle de 2007 s'est en effet fendue de déclarations pour le moins ambigües.
Ainsi, Ségolène Royal déclare qu'elle sera "présente sur les échéances politiques qui viennent pour défendre les valeurs auxquelles (elle) croit et pour (se) mettre au service de ces valeurs. Sous quelle forme, on verra". "Ce n'est pas du tout une déclaration de candidature, ce serait d'ailleurs très maladroit de ma part, je me ferais immédiatement attaquer de toutes parts", précise toutefois l'ambassadrice des négociations sur les pôles Arctique et Antarctique.
L'ancienne ministre de l'Ecologie précise cependant que son éventuel engagement politique ne se ferait "pas sous le chapeau socialiste".
Interrogée par BFMTV sur les éventuels souhaits de son ex-compagnon François Hollande de revenir en politique, Ségolène Royal répond, lapidaire : "Moi je n'ai pas été présidente de la République, donc j'ai le droit d'y penser un peu". Elle assure toutefois que "ce n'est pas l'échéance".
Battue au second tour de l'élection présidentielle de 2007 par Nicolas Sarkozy en réalisant un score de 47% des voix, Ségolène Royal aura, entre autres, été ministre de l'Ecologie sous les mandats de François Mitterrand et de François Hollande. Nommée ambassadrice des pôles par Emmanuel Macron, elle n'appartient plus au PS depuis 2017.