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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Le président des Républicains était invité sur Europe 1 jeudi matin pour s’exprimer sur l’actualité. Mais Nicolas Sarkozy n’a pas manqué l’occasion de décocher quelques flèches à l’encontre de son successeur à l’Elysée.
Interrogé tout d’abord sur les mouvements de grève un peu partout en France, Nicolas Sarkozy a indiqué qu’ils étaient "un scandale" et "une perte d’autorité" de l’Etat, tout en indiquant "comprendre" les syndicalistes déçus par la politique de François Hollande.
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"Monsieur Hollande paie le prix du mensonge"
"Monsieur Hollande paie le prix du mensonge, affirme Nicolas Sarkozy. Mettez-vous à la place des gens de la CGT. Avec enthousiasme ils ont appelé à voter Monsieur Hollande. A aucun moment il ne leur avait dit ‘je vais réformer le droit du travail, je vais poser la question de la loi El Khomri’, jamais. Donc ils sont furieux, poussés à bout, pourquoi ? Parce qu’ils ont le sentiment justifié d’avoir été bernés, d’avoir été trompés."
Puis, celui qui devrait annoncer prochainement sa candidature à la primaire de la droite est revenu sur sa défaite à l’élection présidentielle de 2012. Avec un argument tout trouvé pour expliquer la victoire de son adversaire socialiste : "Quand on ment c’est un peu plus facile de gagner les élections", a fait savoir Nicolas Sarkozy au micro d’Europe 1.
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