271 000. C’est le nombre de victimes de violences conjugales en 2023, soit une hausse de 10% en un an en France. Voici les départements particulièrement concernés.
Le président des Républicains était invité sur Europe 1 jeudi matin pour s’exprimer sur l’actualité. Mais Nicolas Sarkozy n’a pas manqué l’occasion de décocher quelques flèches à l’encontre de son successeur à l’Elysée.
Interrogé tout d’abord sur les mouvements de grève un peu partout en France, Nicolas Sarkozy a indiqué qu’ils étaient "un scandale" et "une perte d’autorité" de l’Etat, tout en indiquant "comprendre" les syndicalistes déçus par la politique de François Hollande.
A lire aussi - Nicolas Sarkozy : l’ancien président privé d’indemnités pendant deux ans !
"Monsieur Hollande paie le prix du mensonge"
"Monsieur Hollande paie le prix du mensonge, affirme Nicolas Sarkozy. Mettez-vous à la place des gens de la CGT. Avec enthousiasme ils ont appelé à voter Monsieur Hollande. A aucun moment il ne leur avait dit ‘je vais réformer le droit du travail, je vais poser la question de la loi El Khomri’, jamais. Donc ils sont furieux, poussés à bout, pourquoi ? Parce qu’ils ont le sentiment justifié d’avoir été bernés, d’avoir été trompés."
Puis, celui qui devrait annoncer prochainement sa candidature à la primaire de la droite est revenu sur sa défaite à l’élection présidentielle de 2012. Avec un argument tout trouvé pour expliquer la victoire de son adversaire socialiste : "Quand on ment c’est un peu plus facile de gagner les élections", a fait savoir Nicolas Sarkozy au micro d’Europe 1.
Vidéo sur le même thème : Nicolas Sarkozy pique le micro au journaliste du Petit Journal !