La marge vous permettant de ne pas être flashé sur l’autoroute par les voitures radar serait bien supérieure à 130 km/h. Et c’est la sécurité routière qui le dit.
Cet aveu de Nikos Aliagas qui risque de mettre mal à l’aise les politiques : un journaliste populaire
Plus de 25 ans de carrière ! The Voice, 50 minutes inside, NRJ Music Awards… Nikos Aliagas est connu comme animateur de divertissement grand public, mais pas seulement. Sa notoriété s’est également construite à la radio.
Depuis 2018, il est d’ailleurs le "maître de jeu" de la matinale d’Europe 1. Tous les matins de la semaine, de 7h à 9h, il présente "Deux heures d'info", où il reçoit des invités politiques. Un nouveau challenge, dans lequel le journaliste franco-grec se sent légitime.
Interviewé par Paris Match, il se confie : "Je me renseigne, je bosse. Je ne me contente pas de trois relances. C’est long mais, à terme, la différence se fera grâce à cette nuance. Je ne suis pas un charlatan, j’essaie d’accompagner les gens, de poser les bonnes questions et de mettre les autres dans la lumière. Et j’ai toujours suivi l’actu, je n’ai pas débarqué fin août en demandant qui était le ministre de la Santé".
Cet aveu de Nikos Aliagas qui risque de mettre mal à l’aise les politiques : des rapports particuliers
Sa proximité avec les auditeurs le rend d’ailleurs très populaire auprès des politiques.
Il en vient même à se confier sur leurs rapports :
"C’est toujours eux qui m’ont appelé pour avoir une place sur The Voice ou ailleurs…"
Il assure toutefois toujours agir avec déontologie.
"Ces années de télévision m’aident à garder une liberté, parce que je n’ai pas besoin d’être dans les petits papiers des uns et des autres".